J
126
– Samedi
1er
novembre 2014
– La
Corogne/À
Coruña
Ce qui est chouette quand on voyage
c'est la rencontre avec les autres. Surtout avec les autres voyageurs
car ils sont dans la même démarche que nous de découvrir les
autres.
Cette semaine nous faisons connaissance avec Jola, Thomas et
Lilly-Marie à bord de leur bateau « Lilly-Marie ». Ils
viennent de Hambourg, en Allemagne. Nous conversons surtout en
Anglais.
Cette après-midi Lilly-Marie vient sur
notre bord. Activité arts plastiques en musique : dessine un
oiseau imaginaire en écoutant Jacky Galou.
Après le dessin puis le coloriage de
l'oiseau, collage des plumes.
plumes de perruches et de geai:
et plumes de paon.
Les œuvres de nos artistes en mer:
J
134
– Dimanche
9
novembre 2014
– La
Corogne/À
Coruña
Après-midi
square
et soirée théâtre : le Tour du Monde en 80 jours. En espagnol bien sure.
J
137 – Mercredi
12
novembre 2014
– Saint
Jacques de Compostelle
Avec nos nouveaux amis nous partons en
excursion. Une journée à Saint Jacques de Compostelle. C'est à
70km de La Corogne. Nous prenons le train le matin et rentrons le
soir à la nuit tombée.
Récit de la journée en photos:
Arrivée sous la pluie:
Bienvenue à Saint Jacques de Compostelle, les coquillages se trouvent partout
Passage par le parc pour aller en ville
La basilique:
Les boutiques de souvenirs:
Nos guides en pleine concertation:
Les gargouilles
Petit jeu: trouvez le coquillage:
Le marché couvert:
Tiens! une machine à distribuer du lait frais. Il faut qu'on essaie:
Petit moment au square pour jouer
et pour se reposer
Apparemment la journée fût bonne!
Il est temps de prendre le train, retour à La Corogne
J
139
– Vendredi
14
novembre 2014
– La
Corogne/À
Coruña
Nous
faisons une super soirée pizzas.
À
bord du « Lilly-Marie », Jola et Lilly-Marie en
cuisinières nous préparent des pizzas top de chez top !
Nous passons une très agréable soirée et apprenons en même temps que les allemands tiennent beaucoup mieux l'alcool que nous.
Mais c'est un petit peu de ma faute, voici l'anecdote :
Après les pizzas, Jola nous pose une question dans la quelle je comprends: « ça va ? »
alors je réponds: « oui, ça va !»
et la voilà qui ouvre le frigo et en sort… des cerveza ! (des bières)
J'avais cru qu'avec son accent allemand elle nous parlait français (alors qu'elle ne parle pas français!), mais non, en fait elle nous parlait espagnol !!! Hou là là, la gymnastique des langues étrangères débutent : nous sommes en Espagne, avec des allemands avec qui nous conversons en anglais, qui nous apprennent quelques mots d'allemand et qui y casent d'autres mots espagnols...Bon, allez donne moi une cerveza Jola je comprendrais peut être mieux après ; tant que je n'y perd pas mon latin ! Heu mon français !
Nous passons une très agréable soirée et apprenons en même temps que les allemands tiennent beaucoup mieux l'alcool que nous.
Mais c'est un petit peu de ma faute, voici l'anecdote :
Après les pizzas, Jola nous pose une question dans la quelle je comprends: « ça va ? »
alors je réponds: « oui, ça va !»
et la voilà qui ouvre le frigo et en sort… des cerveza ! (des bières)
J'avais cru qu'avec son accent allemand elle nous parlait français (alors qu'elle ne parle pas français!), mais non, en fait elle nous parlait espagnol !!! Hou là là, la gymnastique des langues étrangères débutent : nous sommes en Espagne, avec des allemands avec qui nous conversons en anglais, qui nous apprennent quelques mots d'allemand et qui y casent d'autres mots espagnols...Bon, allez donne moi une cerveza Jola je comprendrais peut être mieux après ; tant que je n'y perd pas mon latin ! Heu mon français !
Résultats : après quelques bouteilles de vin puis de bière nous sommes resté couchés toute la journée du lendemain… histoire de se reposer de la soirée…. !
Les filles, elles, étaient très contentes car elles n'ont pas eu d'école.
Malgré cela, l'escale commence à nous peser.
L'été indien s'en est allé, les grands vents d'Ouest sont de retour et avec eux la grande houle atlantique qui verrouille la sortie. Nous avons la désagréable impression de déjà-vu… en pire ! Au moins à Brest nous avions les copains et nous avions trouvé un poste d'amarrage à peu près abrité.
À La Corogne, le port de plaisance est à la sortie du port de pêche ;
Laurent est contraint de modifier
l'amarrage de Kalao deux fois par jour afin que nous dormions sans
les violents coups de rappel des amarres et pour vérifier que
celles-ci ne sont pas usées !
Je n'ai qu'une seule envie :
faire mon sac et rentrer chez ma mère !!!
J
142
– Lundi
17
novembre 2014
– La
Corogne/À
Coruña
Voici maintenant trois semaines que
nous sommes bloqués à la Corogne, nous n'en pouvons plus.
« Lilly-Marie » va tenter une sortie vers 4 heure du matin. Nous les suivrons vers 8 heures du matin au point du jour; mais la houle puissante de l'Atlantique déferle tant devant les rias de la Corogne et d'El Ferrol que nous avons la sensation de faire du « roller-coaster » sur rail de tôle ondulée !!!
La nacelle vibre en permanence, les vagues sont hautes comme des immeubles de 5 étages; les verres font "gling, gling, gling" dans leur équipet.
Laurent décide de faire demi-tour: Ouf ! aujourd'hui n'est pas mon dernier jour !
Du coup nous allons nous remonter le moral avec un chocolat con churros.
Heu... chocolat con pizza pour Toscane:
« Lilly-Marie » va tenter une sortie vers 4 heure du matin. Nous les suivrons vers 8 heures du matin au point du jour; mais la houle puissante de l'Atlantique déferle tant devant les rias de la Corogne et d'El Ferrol que nous avons la sensation de faire du « roller-coaster » sur rail de tôle ondulée !!!
La nacelle vibre en permanence, les vagues sont hautes comme des immeubles de 5 étages; les verres font "gling, gling, gling" dans leur équipet.
Laurent décide de faire demi-tour: Ouf ! aujourd'hui n'est pas mon dernier jour !
Du coup nous allons nous remonter le moral avec un chocolat con churros.
Heu... chocolat con pizza pour Toscane:
"Lilly-Marie" parti, nous attendons encore une semaine pour avoir une nouvelle fenêtre météo; nous aurons peu de
houle mais également pas de vent ou bien dans le nez.
Un autre voilier français tente une sortie l'avant-veille de notre départ, et malgré un équipage aguerri de trois hommes sur un voilier de 45 pieds, ils rebroussent chemin car le vent est encore très fort et la houle pas encore affaissée.
Un autre voilier français tente une sortie l'avant-veille de notre départ, et malgré un équipage aguerri de trois hommes sur un voilier de 45 pieds, ils rebroussent chemin car le vent est encore très fort et la houle pas encore affaissée.
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